L’Unaf en table ronde à l’En3s sur le service public de la petite enfance (SPPE)
L’Unaf, représentée par Yvon Serieyx, en charge du dossier conciliation vie familiale / vie professionnelle, a pris part, le 8 mars 2024, à une table-ronde intitulée « Service public de la petite enfance où en sommes-nous ? » dans le cadre des « Grands enjeux de la branche Famille », devant les 54 élèves de la 63e promotion de l’Ecole nationale supérieure de sécurité sociale (ou En3s), l’école des dirigeants de la protection sociale. L’Unaf a rappelé les attentes des familles : pouvoir compter sur une solution disponible, de qualité et accessible financièrement.
L’Unaf a pris part, le 8 mars 2024, à une table-ronde intitulée « Service public de la petite enfance où en sommes-nous ? » dans le cadre des « Grands enjeux de la branche Famille », devant les 54 élèves de la 63e promotion de l’Ecole nationale supérieure de sécurité sociale (ou En3s), l’école des dirigeants de la protection sociale.
Animée par Julien Damon, Professeur associé à Sciences Po et Conseiller scientifique de l’En3s, cette table-ronde réunissait :
- Elisa Bazin, Cheffe de projet Service public de la Petite enfance, Adjointe à la directrice de projet à la DSS
- Gaëlle Choquer-Marchand, Directrice générale déléguée chargée des politiques familiales et sociales de la Cnaf ;
- Catherine Collombet Sous-Directrice, Mission des relations Européennes, Internationales et de la coopération, CNAF
- Yvon Sérieyx, en charge du dossier conciliation vie familiale / vie professionnelle à l’Unaf
Cet échange en visoconférence de 2h30 a permis un large tour d’horizon : comparatifs internationaux, bilan de la politique actuelle, rôles respectifs des acteurs, attentes des familles, état du projet de Service public de la petite enfance (SPPE), attractivité des métiers, difficultés et atouts…
L’Unaf a mis l’accent, dans ses interventions, sur ce qu’attendent les familles en matière d’accueil du jeune enfant :
- Pouvoir compter sur une solution (être à 100% certains d’obtenir une solution d’accueil), notamment pour organiser leur retour à la vie professionnelle,
- Etre certaines de la sécurité de la solution pour l’enfant,
- Et, plus encore, de pouvoir la financer : en effet, 38% des parents de jeunes enfants qui ne sont pas en emploi ou à temps partiel considèrent le coût de l’accueil comme un des deux principaux obstacles à une activité professionnelle à plein temps.
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