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Unaf/FFER : des liens continus

Marie-Andrée Blanc, Présidente de l’Unaf, a reçu Pierre Lalart, Président de la FFER, le mardi 7 novembre 2023. Au menu de ce moment d’échange privilégié : les projets stratégiques de la fédération pour œuvrer à la prévention des conflits familiaux, les difficultés rencontrées par les gestionnaires des dispositifs et les professionnels, mais aussi la mise en œuvre des diplômes universitaires de soutien et d’accompagnement à la parentalité et les formations initiées notamment avec l’Ecole nationale de la magistrature (ENM).

Entretien Unaf et FFER (M. Lalart)

Marie-Andrée Blanc, Présidente de l’Unaf, a reçu Pierre Lalart, Président de la FFER, le mardi 7 novembre 2023. Au menu de ce moment d’échange privilégié : les projets stratégiques de la fédération pour œuvrer à la prévention des conflits familiaux, les difficultés rencontrées par les gestionnaires des dispositifs et les professionnels, mais aussi la mise en œuvre des diplômes universitaires de soutien et d’accompagnement à la parentalité et les formations initiées notamment avec l’Ecole nationale de la magistrature (ENM). Participaient également à ce rendez-vous qui a permis de réaffirmer les lignes directrices d’une action résolument tournée vers les besoins des familles : Tarik-Alexandre Ali Benali, Chargé de mission national à la FFER, et de l’Unaf : David Pioli, coordonnateur du pôle « Droit de la Famille – Parentalité – Protection de l’enfance » et Nathalie Serruques, chargée de mission.

L’Unaf et la FFER travaillent inlassablement pour porter ensemble un plaidoyer national impactant au bénéfice des enfants et des familles accompagnées au sein des espaces de rencontre. Si la nouvelle Convention d’Objectifs et de Gestion Etat-Cnaf 2023/27 a acté durablement une prestation de service portée désormais à 60%, elle n’apporte aucune réponse concernant l’accueil exponentiel du nombre de situations familiales confrontées à des violences conjugales dans ce même dispositif, pourtant dédié initialement à la prévention et non à la protection de l’enfance.

La nouvelle feuille de route de l’instance nationale « ruptures familiales » nécessite d’être enfin déployée pour répondre pleinement aux besoins des équipes professionnelles mais aussi pour accueillir dans les meilleures conditions les enfants, des tout petits jusqu’aux adolescents, leurs parents, leurs grands-parents ou des proches afin de mettre en œuvre un droit de visite, pour renouer ou étayer un lien fragilisé.

Les financements manquent toujours pour permettre enfin aux gestionnaires de structures de ne se consacrer qu’à la qualité de l’accompagnement proposé.

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